Utilisée comme numérotation du présent site (en animation au scroll), cette police est dessinée avec un élément commun à tous les caractères: le chiffre 1. Ce symbole représente aussi à l’origine le «j» minuscule de l’identité IJE Design.
Petite sœur de la fonte HUITANTE, son nom y réfère également (= terme employé pour la dizaine au-dessus en Suisse et en Belgique). Par contre 90 doit s’écrire NONANTE mais il y a une astuce avec l’orthographe NONENTE qui contient le mot «one».

Dans l’esprit des 4 précédentes (thème et imageries), la nouvelle animation de la série est une ode à la nature qui «colore» la morosité des villes et de ceux qui y vivent.
Les visuels ont été trouvés dans différentes sources: un manuel de conduite automobile, des images d’Epinal, des anciennes gravures et publications pour enfants,…) avec parfois des éléments recréés (caméra vidéo, personnages,…) et le rythme est donné par une musique rapide et énergique: la Tritsch-Tratsh-Polka de Johann Strauss II (1825-1899).

Ce catalogue en ligne propose à la vente des livres rares, à tirages limités, anciens ou récents ainsi que d’autres œuvres d’art destinés à une clientèle de bibliophiles et d’amateurs.
En plus de l’aspect esthétique important, il contient des éléments techniques comme le magasin entièrement automatisé, le répertoire des artistes et auteurs, les fiches thématiques et les billets d’actualité du blog, une newsletter et les fonctionnalités habituelles.
Les mains, extraites des articles de la boutique, sont le fil rouge dans toute l’iconographie.

Selon les besoins de mises à jour régulières des annonces concernant des biens, cette plateforme a été conçue en «contenu géré par le client»; une régie active dans la région de Lausanne en l’occurence.
Le concept reprend l’univers de l’immobilier en utilisant la mise en abîme (une image dans l’image) pour les visuels, statiques ou animés, et le logo est détourné afin de servir de pictogrammes.

Inspiré de la plus vieille histoire du monde et parodiant un tutoriel vidéo sur un style rétro-futuriste, cette quatrième animation pose une question – grave, fondamentale mais qui reste en suspens – «est-ce que l’humanité mérite d’être sauvée?».
L’iconographie provient en grande partie d’une ancienne méthode d’apprentissage de dessin et l’habillage musical est un air baroque du compositeur Rameau (1702-1766).